Le prêtre demande ensuite que la grâce de l’Esprit-Saint descende sur tous ceux qui sont rassemblés : afin que ceux qui furent réunis en un seul corps par le symbole de la régénération, soient maintenant aussi ressérés comme en un seul corps par la participation du corps de Notre Seigneur ; qu’ils convergent en l’unité et qu’ils se lient entre eux, dans l’unanimité, dans la paix, dans le zèle à se rendre service ; de peur que, alors que tous nous regardons vers Dieu de tout notre esprit, nous recevions pour notre châtiment la participation de l’Esprit-Saint, si nous étions divisés dans nos pensées, inclinés aux disputes, aux querelles, à la jalousie et à l’envie, et sans souci des bonnes mœurs ; mais pour que nous soyons jugés dignes de le recevoir, parce que l’œil de notre âme se tourne vers Dieu dans l’unanimité, la paix, le zèle du bien, et dans un esprit parfait. Et que nous soyons ainsi unifiés par la participation aux saints mystères, et que de cette façon nous soyons ensemble reliés à notre Tête le Christ notre Seigneur, dont nous croyons que nous sommes le corps et que par lui nous entrons en participation de la nature divine.